« Waouuh, je ne savais pas que l’igname était un aliment aussi formida

« Waouuh, je ne savais pas que l’igname

était un aliment aussi formidable pour les femmes de plus de 40 ans ! Je comprends pourquoi les grands-mères

de mon village le préfèrent toujours au riz, pain… C’est extraordinaire Josie, j’ai découvert avec l’une de tes vidéos

que c’est à base de l’igname

que sont fabriqués des compléments alimentaires

pour les femmes ménopausées…»

Une dizaine parmi vous, que j’ai eu cette semaine lors des Rendez-vous business m’ont témoigné la même chose, d’ailleurs vous pourrez en prendre un en cliquant ici : https://urlz.fr/niua ceci si vous avez une préoccupation, projet, question spécifique pour laquelle vous sollicitez un entretien.

Je disais donc que de nombreuses personnes ont découvert que l’igname qu’ils banalisaient était en réalité un «alicament » pour les femmes ménopausées.

Et croyez-moi, vous n’avez pas idée de tous ces aliments

de « brousse », ces fruits sauvages

, ces tubercules

« désuètes », ces condiments

« traditionnels » qui sont de vraies pépites pour notre santé, dont notre continent regorge, mais que que nous avons fini par abandonner, faute de savoir probablement…

De nos jours, on est plus préoccupé à défendre le

pain-spaghetti, à frimer avec le schawarma

, à célébrer la pizza

, à jurer fidélité éternelle aux cubes

, qu’à revenir à l’essentiel : creuser, fouiller et mettre en valeur la richesse nutritionnelle de nos terroirs, de nos cultures, de notre communauté

entière.

Nos aïeux avaient conscience et ont en fait savamment usage, leur longévité et santé légendaires n’étaient pas qu’une affaire de gènes…

À l’ère de la mondialisation même si nous sommes d’accord qu’il faut : « travailler sur soi », faire du développement personnel , multiplier les sources de revenus…

N’oublions pas que tout cela ne sera pas possible si nous trainons avec nous : santé claudicante, fatigues permanentes, surpoids et maladies liées à la mauvaise alimentation ! Impossible !

Vous avez autour de vous des cas de jeunes parties trop tôt pour ces raisons, n’oubliez pas…

La solution ?

Se documenter sérieusement sur « l’alimentation de chez nous » ou mieux, se

former en nutrition tropicale, mettre toutes les chances de son côté en attendant que la Transcendance décide…

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Et pour celles et ceux qui veulent aller plus loin, notre collection d’ouvrages sur l’alimentation tropicale est un point de départ puissant pour reconnecter avec nos savoirs:

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