Bouillies- enfant chez nous! nutrition infantile ou engraissement animal ? Voici la vérité glaciale...
Aujourd’hui, je m’adresse à toutes les mères.
À toutes les nourrices.
À toutes les tantes.
À toutes celles qui, chaque matin, préparent la bouillie avec amour…
…mais parfois aussi, sans le savoir, avec du poison.
Oui, du poison. Car ce qui devait être un repas sacré est devenu un concentré de sucre, de vide nutritionnel, de toxines enrobées de tendresse.
Depuis quand une bouillie doit-elle contenir :
du sucre blanc,
du lait concentré sucré,
du cube,
de la farine blanche stérile,
du "foster clark"
des biscuits industriels pleins d’additifs,
des macaronis écrasés, du riz brisure,
du soja,
des restes de poisson fumé douteux…
Et le plus alarmant : certaines ajoutent tout en même temps, croyant bien faire… alors qu’elles préparent un cocktail indigeste qu’elles-mêmes ne pourraient pas avaler sans grimacer.
Pose-toi une seule question :
Est-ce que toi, adulte, tu mangerais ce mélange sans goût, sans texture, à l’odeur suspecte ?
Non ? Alors pourquoi l’imposer à un bébé de 8, 12 ou 18 mois, dont l’estomac est mille fois plus fragile ?
Ce n’est pas un repas.
C’est de la provenderie broyée.
Des recettes plus proches de l’engraissement des porcs et des poulets que de la nutrition humaine.
Et pendant ce temps, on s’étonne des :
enfants hyperactifs,
troubles du sommeil,
cas d’obésité infantile,
problèmes de concentration,
infections à répétition,
bébés tout le temps ballonnés, constipés, victimes de diarrhée …
Et quand une voix ose questionner ce rituel toxique, la réponse fuse :
“Mais tous mes enfants ont grandi avec ça !”
Oui, mais à quel prix ?
Et combien souffrent aujourd’hui de troubles que tu ne relies même pas à cette bouillie “trop riche” mais mal pensée ?
Chercher, oui.
Mais surtout : vérifier, comprendre, questionner.
Un groupe Facebook ne remplace pas un pédiatre.
Un parent bienveillant ne remplace pas un nutritionniste.
Et l’amour ne compense pas un mauvais choix alimentaire.
Le pédiatre est le seul référent fiable pour construire le programme alimentaire d’un bébé.
Pas une infirmière de quartier.
Pas une influenceuse qui fait des vues.
Il est temps de réapprendre à NOURRIR, pas simplement à REMPLIR.
Voici 3 gestes simples (à valider avec ton pédiatre) pour transformer la bouillie en vrai superaliment 
1. Remplace la farine blanche par une farine complète maison :
Mil, sorgho, fonio, riz brun, plantain séché, patate douce.
Bénéfices : meilleure glycémie, vitamines B, zinc, fer, fibres douces pour un bon transit.
2. Sucre avec sagesse :
Dattes mixées, banane mûre, mangue, papaye (selon l’âge et la tolérance).
Bénéfices : énergie naturelle, antioxydants, pas de pic d’insuline, meilleure assimilation.
3. Ajoute des graines ou superaliments locaux :
Sésame grillé, arachide écrasée, moringa en poudre, un peu d’huile rouge artisanale.
Bénéfices : acides gras essentiels, protéines végétales, renforcement de l’immunité.
Et surtout, souviens-toi :
L’alimentation d’un bébé ne s’improvise pas.
Ne copie pas de recettes au hasard. Consulte ton pédiatre.
C’est de la santé — et du destin — de ton enfant qu’il s’agit...
Partage cette vérité.
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Josie-K, Experte en Nutrition Tropicale depuis 2010. Auteure de 17 ouvrages à succès.
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