🌅 Nos ancêtres avaient compris ce que nous avons déjà tout💔 oublié.

Nos ancêtres avaient compris ce que nous avons déjà tout oublié.

Pendant des siècles, l'Afrique a été un laboratoire de la nature, où chaque véritable plat était une alchimie d'épices aux vertus médicinales.

Tetrapleura tetraptera, Piper guineense, Monodora myristica, Xylopia aethiopica… Ces noms vous semblent étrangers ? Normal.

La génération actuelle ne connaîtra même pas la moitié de ces épices aux pouvoirs anticancéreux, anti-vieillissement et protecteurs...

Pourquoi ? Parce que l'industrie nous a vendu un mensonge emballé dans un petit cube.

Remettez en cause son utilisation, soulignez sa composition ou ses méfaits, et vous vous mettrez le monde à dos...

Mais avant ces cubes, bien avant qu'utilisait-on?

Quand chaque repas était un remède...

Nos ancêtres ne se contentaient pas de manger. Ils se soignaient en même temps. Chaque ingrédient avait un rôle :

Le poivre de Guinée (Piper guineense) – Un puissant antibactérien, un aphrodisiaque naturel, un protecteur cardiovasculaire.

Le fruit à 4 ailes (Tetrapleura tetraptera) – Réduit l'hypertension, combat le diabète, protège le foie.

La fausse noix de muscade (Monodora myristica) – Un stimulant du système immunitaire et un anti-inflammatoire puissant.

L'arbre à ail (Scorodophloeus zenkeri) – Un antibiotique naturel, un régulateur du sucre sanguin, un booster digestif.

Les maniguettes sucrées (Aframomum daniellii) – Une épice qui booste la fertilité et protège contre les infections intestinales.

Je vous listerais N-exemple et jusque demain nous n'en aurons pas terminé...

Nos repas étaient des potions de longévité , et pourtant, nous avons tout échangé contre un cube/ une poudre jaune artificielle , bourrée de sel, de glutamate et de substances chimiques surprenantes.

L'abandon d'un héritage culinaire : facilité, ignorance ou addiction ?

Pourquoi avons-nous lâché tout cela pour un cube standardisé ?

Facilité ? Ouvrir un sachet et le jeter dans une marmite demande moins d'efforts que de doser soigneusement les épices naturelles.

Ignorance ? Beaucoup ne savent même plus reconnaître le poivre de sélion ou l'écorce rouge, alors que leurs arrière-grands-parents les utilisaient quotidiennement.

Une addiction inavouée ? Le glutamate et le sel en excès modifient nos papilles et nous rendent dépendants à un goût artificiel.

Suivisme ? On achète ce qu'on voit dans les pubs, on suit ce que tout le monde fait, sans se poser de questions .

Mais à quel prix ?

Explosion du diabète, des cancers digestifs, des maladies cardiovasculaires.

Perte de notre souveraineté alimentaire, dépendance aux multinationales.

Un abandon total de notre pharmacopée culinaire ancestrale.

infertilité, hypertension artérielle, œdèmes, cécité...

Quand l'Occident nous vendra ce que nous avons rejeté…

Et le plus douloureux dans tout ça ? Le jour où l'Occident décidera d'exploiter nos épices oubliées, pour nous les revendre, nous retomberons dans le même piège.

Regarde ce qui s'est passé avec :

Le fonio – Délaissé en Afrique, devenu un "superaliment" en Occident, vendu à prix d'or.

Le moringa – Oublié localement, mais commercialisé comme "l'arbre miracle" par les marques étrangères.

Le beurre de karité – Utilisé depuis des siècles en Afrique, puis récupéré par l'industrie cosmétique mondiale.

Demain, quand on verra le "Poivre de Guinée bio" ou le "Tetrapleura tetraptera premium" en rayons chez des multinationales, vendu 20 fois son prix local, il sera déjà trop tard.

Pourquoi ne pas s'affranchir maintenant ?

Pourquoi attendre que d'autres nous dictent la valeur de nos propres trésors ?

Pourquoi accepter qu'on nous vende notre propre richesse, alors qu'elle est à portée de main ?

Pourquoi continuer à enrichir des industries qui nous rendent dépendants et malades ?

Il est temps de se réveiller. De reprendre le contrôle de nos épices, de nos plats, de notre santé. Rejetons le cube. Redécouvrons nos épices traditionnels.